Les ados qui décrochent à l’école secondaire proviennent souvent de familles au sein desquelles la supervision est minimale et la communication avec les parents difficile, voire inexistante. C’est ce qui ressort d’une étude publiée dans le Journal of Adolescence, cosignée par le diplômé Kamel Afia (M.A. éducation, 2018) et le professeur du Département d’éducation et formation spécialisées Éric Dion, ainsi que leurs collègues Véronique Dupéré et Isabelle Archambault, de l’Université de Montréal, et Jessica Toste, de l’University of Texas at Austin.