La reconnaissance d’acquis de l’apprentissage non scolaire aide à l’obtention d’un diplôme
Le Québec gagnerait à améliorer ses services en reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) en s’inspirant d’initiatives d’autres pays. Si le Québec a investi dans leur amélioration depuis 2002, on sait peu de choses sur l’atteinte des cibles gouvernementales et sur le parcours des adultes, notamment ceux qui, avant la RAC, ne détenaient aucun diplôme ou avaient seulement un diplôme de formation générale ou préuniversitaire.