Un récent article paru dans l’édition canadienne du média universitaire The Conversation montre l’importance de développer la résilience des étudiants à long terme, mais aussi leur capacité à vivre les revers quotidiens.
Le billet, rédigé par Astrid Kendrick de l’University of Calgary, distingue d’emblée la résilience et la flottabilité (buoyancy) scolaires. La première désigne la capacité d’une personne à relever les défis scolaires à long terme. La deuxième définit plutôt la capacité des étudiants à se relever des revers quotidiens qui jalonnent un parcours scolaire typique, comme une mauvaise note à un test, une rétroaction négative de la part d’un enseignant ou un rejet dans une équipe sportive.