La douance chez l’enfant demeure encore très peu connue, rapportait Radio-Canada en janvier dernier. Pourtant, « on sait pertinemment aujourd’hui que les enfants surdoués ont des besoins particuliers », notamment en matière de rapidité d’apprentissage, de réduction de la répétition et de qualité de l’enseignement, faisait valoir la psychologue et neuropsychologue Marianne Bélanger. « Si ces besoins ne sont pas remplis, ils vont sous-performer, mais ils vont surtout risquer de développer des difficultés de santé psychologique. »