Pour une vision positive de l’erreur
Dans le système éducatif français, se tromper est rarement vu de manière positive. L’élève qui se trompe, qui est dans l’erreur, est un “mauvais” élève. Le “bon” élève est au contraire celui qui ne se trompe pas.
Cette conception négative de l’erreur va de pair avec une vision positive de la réussite. Chaque succès serait alors doublement signe de réussite, d’une part en tant que tel, et d‘autre part parce qu’il préparerait mieux pour les succès à venir.